Il y a dix ans, quand la réalité show « Bridezillas » ont fait irruption sur la télévision par câble — tous tulle et tirades et robes sur mesure, quatre chiffres — une sorte de counter-pop-culturel façon de penser est venu avec elle, centrée sur le réflexe dédain. Dans certains cercles féministes, il est pris pour acquis non seulement que ce complexe de milliard-dollar existe (le coûte aujourd'hui mariage américain moyen plus de 28 000 $), mais que c'est ridicule. Il y a les mèmes Internet comme le blog « Mes amis sont mariés » et le "mes amis sont Getting Married. Je suis juste Getting Drunk"groupe Facebook. L'an dernier, site féminin populaire Jézabel a monté une attaque vicieuse sur les femmes dans une histoire de l'article du New York Times Style qui planifient leur mariage avant qu'ils sont engagés.
Si vous êtes qui se marient et que vous considérez comme quelque chose d'une féministe, navigation dans ce champ de mines numérique de dérision n'est aucun une tâche facile. (Il est gauche à Instagram, un anneau tourné ? Est la veille maintenant-standard "elle a dit oui" statut Facebook moins d'information que Self prétentieuse?) En 2009, l'annonce de l'éminent auteur féministe et les noces du Président Jessica Valenti ont rencontré un torrent de commentaires caustiques de la blogosphère féministe et commentateurs conservateurs. « Il y a la pression critique de mariages, » dit Jill Filipovic, rédacteur en chef du blog populaire, Feministe. "Peut-être dire, ' bien sûr, je suis vêtue d'une robe blanche, mais permettez-moi de vous expliquer pourquoi."

Jen poupée Save the Date : les Mortifications occasionnelle de demoiselles d'honneur la série invité de mariage et de la Eimear Lynch : contes d'amour vrai, l'envie, loyauté... et robes Terrible signalent une sorte de troisième ou énième-vague de la pensée féministe moderne sur les mariages. Ces auteurs comprennent qu'il s'agit d'une entreprise qui s'attaque à nos désirs plus élémentaires pour signaler la particularité robe de mariage civil hiver, d'avoir une foule affirmer que nous avons « fait » — au moins dans ce seul aspect important. Ils compris que ce métier est enraciné dans les traditions patriarcales qui ne reflètent plus nos réalités modernes. Mais les poupée et Lynch aussi divine sens, sagesse et le but dans les mariages qu'ils chronique. Leurs sensibilités (les deux auteurs de débuts sont modernes, instruites, célibataires femmes de New York) semblent nous dire que malgré, ou peut-être parce que — de robes de mariée discount et victoires pour l'égalité du mariage, nous ne sommes pas échapper le complexe industriel-mariage n'importe quand bientôt.
Réservez la Date — qui a commencé comme un billet de blog sur l'épingle à cheveux (oui, blogue peut devenir livres ces jours-ci) — justifie ses contes de la vie réelle de mariage excès avec notion de sentimental de la poupée que les mariages sont vraiment sur ce que chaque invité apporte à sa table assigné par le biais de bagage émotionnel. Comme le dit sa biographie de veste, Jen Doll a assisté à des dizaines de mariages « et avait à peu près chaque sentiment possible à leur sujet. » Le mariage où elle affronte un vieux rival de l'équipe de débat secondaire et séduit lui apporte des sentiments de schadenfreude. La série des mariages que démêler une amitié importante produire chagrin encore plus grande que le mariage qui a marqué le début de la fin d'une relation amoureuse. Il n'y a fierté professionnelle si elle cache un mariage pour le Village Voice (parmi les premiers mariages gay après que le mariage homosexuel a été légalisé à New York City). Il y a honte : poupée obtient tellement ivre lors d'un mariage qu'elle fait avec un barman, un invité et un bargoer aléatoire, qui poste plus tard un Craigslist « Correspondances ratées » consigne de navigabilité qui elle assimile à Amy Winehouse.


L'accent sur les sentiments de l'invité de mariage moderne sert le fil narratif entre les 17 mariages relaté dans le livre. Il est assez courte sur n'importe quel commentaire plus grande ; description émotionnelle submerge toute critique culturelle large : lourdes étiquettes de prix ou de la culpabilité féministe ne sont pas sujets poupée aborde la tête sur. Et le livre longe l'engagement économique important impliqués dans une épouse ou un invité du mariage. (Trente pour cent des sondés par Brides magazines en 2012 plus de 1 000 épouses avait utilisé des cartes de crédit pour payer leur mariage.) Poupée a assisté à des dizaines de mariages, mais elle mentionne le squeeze financier qu'une seule fois : après qu'elle avait été mises à pied par un magazine travail et avaient déjà réservé un voyage pour assister à un mariage à destination en Jamaïque. Poupée, en fin de compte, veut que nous avons notre gâteau de mariage et le manger aussi : mettant l'accent sur l'émotion lui permet de participer à une mascarade qui inclut désormais les Bridezillas et féministe Bridezillas.
Mais si vous lisez le Save the Date comme une histoire de coming-of-age plutôt qu'un commentaire social, il y a une douceur sous-jacent à l'ouvrage. Poupée présente ces histoires avec un clin d'oeil « nous avons tous été là », mais il est difficile de croire que l'expérience de la poupée est universelle. Comme une petite fille, poupée a été captivée par des images de mariage ; elle avait un amour excentrique pour Canon de Pachelbel robe invitée de mariage, dont elle a soufflé d'un magnétophone. Cette affection innocente pour la signification du mariage n'est pas évacuée par la perspective de sa femme indépendante, non mariés. Poupée souligne que les cérémonies de mariage peuvent transporter des poids significatif, même lorsque dépouillé de conte de fées afféteries.